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Premier match avec une mère porteuse !

  • Photo du rédacteur: Julien et Mathieu
    Julien et Mathieu
  • 27 févr. 2019
  • 3 min de lecture


Pour la partie “mère porteuse”, nous avons choisi de passer par le Canada car en plus d’être moins onéreuse, la gestation pour autrui est plus éthique dans la mesure où il s’agit d’une compensation financière pour tous les frais engendrés par la grossesse et non une rémunération, contrairement aux États-Unis.


Après des mois inscrits dans des agences de mères porteuses, nous n’avons toujours pas eu de retours positifs. En effet, la liste d’attente des futurs parents est longue. Pour maximiser nos chances, nous avons souhaité nous inscrire dans des groupes Facebook où nous pourrions nous-même trouver celle qui portera notre enfant. Par le plus grand des hasards, un couple qui faisait partie de l’un de ces groupes nous a présenté une femme intéressée par la gestation pour autrui. Nous l'en remercions vivement.  


Il s’agit d’une jeune femme adorable qui a déjà trois enfants et qui souhaite rendre un couple heureux en lui offrant la paternité. Après plusieurs jours de discussion, nous l’avons à notre tour présentée à l’une des deux agences de mères porteuses canadiennes les plus réputées. Il s’agit de JA surrogacy, une agence toute récente qui excelle dans les relations humaines entre les différents interlocuteurs.


La procédure veut habituellement que nous échangions environ deux semaines pour décider si l’on souhaite poursuivre l’aventure ensemble ou non. Si de notre côté il n’y a eu aucun doute dès les premiers instants, nous avons eu aujourd’hui l’immense joie d’apprendre que notre profil lui plaît également. Dans le jargon de la surrogacy, nous avons “matché” !


À présent, il faut que la mère porteuse fasse une série de tests psychologiques et qu’elle fournisse à la clinique de Las Vegas tous les bilans de ses grossesses précédentes pour pouvoir être “validée”. Si jamais c’est le cas, nous pourrons alors réaliser le contrat par le biais d’un avocat et débuter le transfert d’embryon.



For the "surrogate" part, we chose to go through Canada because in addition to being less expensive, surrogacy is more ethical insofar as it’s considerate as a financial compensation for all the costs incurred by pregnancy and not a salary, unlike the United States.


After months enrolled in surrogacy agencies, we still haven’t had positive feedback. Indeed, the waiting list of future parents is long. To maximize our chances, we wanted to register in some Facebook groups where we could find ourselves the person that will carry our child. Most likely, a couple in one of these groups introduced us to a woman interested in surrogacy. We thank him very much.


This is an adorable young woman who already has three children and wants to make a couple happy by offering him paternity. After several days of discussion, we presented her to one of the two most famous Canadian surrogacy agencies. This is JA Surrogacy, a brand new agency that excels in the human relations between the various interlocutors.


The procedure usually requires us to exchange about two weeks to decide whether we want to continue the adventure together or not. If there was no doubt from our side from the first moment, today we had the immense joy of knowing that our profile also appeals to her. In the jargon of surrogacy, we "matched"!


Now, the surrogate has to do a series of psychological tests and provide the Las Vegas clinic with all the results of her previous pregnancies so that she coul’t be "validated". If this is the case, we can then complete the contract through a lawyer and start the embryo transfer.


 
 
 

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